Un groupe d’environ vingt policiers kenyans a choisi de quitter leur mission en Haïti, citant des retards dans le versement de leurs salaires ainsi que des conditions de travail insatisfaisantes.
Le mouvement de démission a débuté en octobre lorsque certains membres ont tenté de se retirer verbalement avant d’être invités à formaliser leur décision par écrit.
En octobre, trois lettres de démission ont été officiellement soumises, suivies par environ quinze autres en novembre. Parmi ces démissions figurent au moins cinq hauts responsables, y compris un commandant d’unité qui a pris l’initiative de déposer sa lettre dès.
Cette vague de départs met en lumière les défis auxquels sont confrontés les agents kenyans déployés en Haïti, soulignant la nécessité d’améliorer les conditions financières et professionnelles pour assurer le bon déroulement de leur mission.