Kaliko Beach Club, propriété du groupe Paret Hospitality, a lancé un ultimatum à l’opérateur de télécommunications Digicel, lui donnant 30 jours pour retirer ses câbles en fibre optique installés sur sa propriété.  L’entreprise qualifie la présence de ces câbles d'”irrégularité fâcheuse” et affirme que toutes les tentatives de négociation amiable ont échoué depuis l’accord initial signé en 2020.  Selon Kaliko Beach, l’installation des câbles entrave l’exploitation optimale de son espace.

Le cœur du problème réside dans l’accord de 2020 autorisant initialement l’installation des câbles.  Les détails de cet accord et les raisons du désaccord actuel ne sont pas précisés, mais il semble que Kaliko Beach estime que les conditions initiales ne sont plus respectées ou que l’impact sur son activité est plus important que prévu.  L’entreprise affirme avoir tenté de résoudre le problème à l’amiable avec la Digicel, sans succès.

Face à l’impasse des négociations, Kaliko Beach a donc posé un ultimatum, menaçant de recourir à la voie judiciaire si la Digicel ne retire pas ses câbles dans les 30 jours.  Cette situation met en lumière les conflits potentiels entre les besoins en infrastructures de télécommunication et les droits des propriétaires fonciers.  L’issue de ce litige pourrait avoir des conséquences importantes pour les deux parties et servir de précédent pour des cas similaires.

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here